Crise écologique et moyens d’action : taxe carbone…un rideau de fumée

la fiscalité écologique…un moyen parmi d’autres, et pas une fin en soi

La crise écologique, dont la crise climatique, s’accélère. L’aveuglement n’est plus possible. Le primat donné à la production (le productivisme) sans s’interroger sur les conditions de sa réalisation, les conséquences de l’utilisation des produits puis leur élimination nous a mené dans le mur. Le récent développement industriel de l’Inde et de la Chine ne font qu’accentuer cette crise dont les 1ers responsables sont les occidentaux.

Que faire ? (vladimir illitch oulianov !)

Pour limiter les impacts de cette crise climatique et inverser les tendances, il convient d’agir sur plusieurs plans qui doivent permettre de modifier les comportements individuels en proposant des alternatives : • la sensibilisation des individus • les choix collectifs • l’incitation par la puissance publique à effectuer des choix individuels différents

en unissant efficacité et justice sociale.

(La sensibilisation des individus est en cours…je passe…)

Les choix collectifs … Lire la suite

Des mots en l’air, une association support

Il vient un moment où il est nécessaire de créer une structure support apte à porter vos projets, en fédérant les bonnes volontés qui souhaitent vous aider.

C’est pourquoi l’association “Des mots en l’air” est née le 18 septembre 2008.

Sa présidente est Sophie Altayrac, que j’ai connue au grenier lyrique, et le trésorier Luc Ferry, rencontré à l’Atelier Lyrique Angevin. Jean Louis Guignon, amoureux d’Offenbach entre autres passions, croisé à Vocal Plus, est le 3ième membre du bureau. Le siège social est 11 rue de Terre Noire à Angers.

Son objet est “la promotion du spectacle vivant et de ses pratiques, en particulier la chanson d’expression française”.

Elle propose aux structures qui le souhaitent les spectacles que j’ai créés.

 

Il ne faut pas supprimer la Taxe Professionnelle et si on parlait aussi de la Taxe sur les Salaires ?

La Taxe Professionnelle (TP en abrégé) a été créée en 1975, Chirac étant 1er Ministre de Giscard. Elle se substituait à la patente, tant décriée par les petits commerçants et artisans.

Le principe initial était de soumettre à imposition la valeur locative des biens utilisés par les entreprises, qu’ils soient en propriété ou en location, ainsi que les salaires payés par ces mêmes entreprises. Même si le mot n’était pas employé, un ersatz de valeur ajoutée servait de base : d’un côté le capital utilisé, de l’autre le travail. Pour les professions libérales, la base était (et est toujours) un pourcentage des recettes TVA comprise. D’emblée, les paysans en ont été exemptés (ce qui n’est pas sans poser problème dans les communes à forte activité agricole), et les artisans bénéficiaient d’un abattement de 25 % à 75 %.

Si les bases d’imposition étaient de la « compétence » des entreprises, les taux d’imposition relevaient des … Lire la suite

Mes accompagnateurs

Après Jacky Le Poittevin qui m’a permis de faire mes premiers pas sur scène, j’ai été accompagné de 2004à 2007 par Muriel Stip à 2007, puis, depuis le printemps 2008, par Christian Boutin.

Christian BOUTIN commence ses études de piano dans les années 50, au Conservatoire Musical d’Angers avec Mme GAY. Plus tard, au cours des années 60, c’est l’Ecole Nationale de Musique d’Angers (le Conservatoire n’était pas encore né) qui l’accueille pour parfaire son acquis.

Parallèlement, il commence à jouer la musique “yéyé” de l’époque, avec son premier groupe : Les Atlas. Après son service militaire, il décide de devenir musicien professionnel dans la musique de variétés et le jazz.

Pendant quatre décennies, il parcourt l’hexagone, en jouant de la musique de variétés dans le grand sens du terme (soirées dansantes, … Lire la suite

Régimes spéciaux et équité

L’argument mis en avant par le gouvernement pour justifier la réforme qu’il veut imposer est l’équité. Cet argument est souvent pris au sérieux par les citoyens épris de solidarité, et j’en fais partie.

Passons sur le fait qu’il ne met pas en œuvre cet argument quand il décide de supprimer les droits de succession pour les plus riches, de quasiment supprimer l’ISF ou de réduire à 10,6 % en réalité l’imposition des revenus des capitalistes (les dividendes) alors que les revenus du travail peuvent être taxés à 40 % !

Il n’y aurait pas équité parce que les salariés de la SNCF partiraient plus tôt à la retraite que les autres salariés, avec une retraite complète, et avec un financement très élevé de l’Etat. Ce discours à sens unique est martelé depuis des mois pour conditionner la population.

Depuis la réforme Balladur, qui n’a pas été remise en cause par la gauche … Lire la suite