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Archives de la catégorie : Mes chansons
le Ca ira solférinien
Allez, une petite parodie, écrite en quelques minutes…je peux mieux faire, mais c’est tout pour l’instant…et chacun pt ajouter les couplets de son cru
Le “Ca ira Solférinien”
Depuis le temps qu’ils nous enseignent
Qu’il ne faut pas rêver debout
Depuis le temps qu’ils nous oppressent
Et nous voudraient de vrais toutous
Depuis le temps que leurs mensonges
Du Medef exaucent les songes
Ça ne pouvait durer toujours
Ah ça ira, ça ira, ça ira
Les Solfériniens à la lanterne
Ah ça ira, ça ira, ça ira
Les Solfériniens, on les pendra
Depuis le temps que leur façade
Nous croyait tous hypnotisés
Depuis le temps qu’ils nous quémandent
Nos voix pour être députés
Depuis le temps que l’peuple crève
Encore et plus dans la galère
Faudra bien les éliminer
Ah ça ira, ça ira, ça … Lire la suite
A une Edelweiss
Vers les nuages, vole mon âme
Croyant trouver sa destinée
Cherchant l’amour qui l’a quittée
Bien loin de moi, elle s’en va
Le ciel est gai comme la mer
Mais n’en déplaise à M’sieur Ferré
La solitude est bien amère
Surtout quand on est éveillé
Un jour peut-être, qui le sait
L’oubli sera maître de moi
Ou mieux encore dans ses filets
Le même amour me reprendra
Et pour ma mie sera mon cœur
Ne cherchant plus d’autres bonheurs
Trouvé l’amour qui m’avait fui
Et nous construirons notre vie
Trouvé l’amour qui m’avait fui
Et nous construirons notre vie
D’Angers à Tours
Un midi, pas un matin
Il faisait beau rue Toussaint
C’était en mai, pas en juin
Deux cafés à quatre mains
Sur la plac’, pleins d’entrain
Deux amants, main dans main
A Saint Clément, vir’voltains
Pour aujourd’hui et demain
Pour cheminer en commun
Fallait pas fair’ le malin
Mais couper tous autres liens REFRAIN
Pour êtr’ sûrs des lendemains
Aventur’s sans lendemain
C’n’était pas leur parchemin
C’est en croisant leurs chemins
Qu’ils mélêrent leurs destins
D’Angers à Tours par le train
Ca dur’ cert’s une heure vingt
Mais l’amour, comm’ le bon vin
Tu ne l’attends pas en vain
Pour cheminer en commun
Fallait pas fair’ le malin
Mais couper tous autres liens
Pour êtr’ sûrs des lendemains
Cett’histoir’ a une fin (ou « Y’a un’ fin à … Lire la suite
La fortune de Jeanne
Dans cette chambre orangée, un miroir oublié
Couvert d’un drap de lin. Je me suis approché
D’un pas mal assuré, pour retirer ce voile.
Dans l’tréfonds du miroir, un’gamin’ fragil’
Dormant au cœur d’un val aux oliviers gracil’s
Fond sans crainte sous les caresses de son amoureux
Descendu des montagn’s, ce mâle malicieux
A enchaîné Jeanne dans ses rêts licencieux
Des mots et des marqu’s rythment des jeux surprenants
Cet homme est un expert qui dirige en douceur
Cett’ femm’ étonnée, à chaqu’instant, à tout’heur’
D’aimer subir, souffrir, des mains de l’être aimé
Ell’ suit sa volonté, dans ce lien créatif
Elle’sait qu’à son plaisir, il demeur’ attentif
Amour et respect dans toutes les intentions
Sens interdits, plaisirs des sens, sans conventions
Les rôles s’inversent : entre eux, tout est permis
Mis(e)s en danger, les jeux débordent dans les tensions
A chaqu’ répit, leurs visag’s … Lire la suite